Agora, ecclésia et ostracisme
Lundi, alors que tout Marseille et les supporters de l’OM de par le monde étaient encore assommés par l’indigente prestation de son équipe la veille au soir sur la pelouse du stade René Gallice de Bordeaux – match qui a ajouté une rencontre de plus à la série d’absence de victoire en terres girondines – le club a coup sur coup allumé deux mèches dans son combat contre les groupes ultras et plus largement contre l’identité historique du club. Pareil à un Néron qui craquerait des kilogrammes d’allumettes sur une poudrière, Jacques-Henri Eyraud – puisqu’il faut nommer les responsables par leur nom, quand bien même seules les structures prévalent réellement – pensait très certainement remporter une victoire décisive.